Vous voilà beaux, me revoilà.
Après moults et moults encouragements à un retour en écriture, après une pause bien méritée, après quelques verres, quelques litres, quelques vers lus ça et là, après l'usure, la fatigue et la soif, après tout, après manger, après d'âpres essais de retour, après d'autres zidées, après l'amour, après l'après Royal, après la paix royale, après avoir lu et vu, après le travail continuel et les efforts continus, après quoi et qui court après qui, je reviens.
Et je pète la fomule !
J'ai tellement pausé que je ne sais par quoi commencé. Et par qui ? Il y a d'abord deux nanas qui se crèpent le chignon, un black élu, toujours les mêmes (de droite) qui m'attristent,...
Et il y a les anarcho-terrorisses d'ultra gauche autonome. Quelle poilade !!! Pas eux ! Quoi que..., mais le traitement qui leur a été réservé. Quelle humour ils ont, les journalisses. Là, tu me demandes, l'Ami, " mais quoi, qu'est-ce-y-a ? "
Pour l'exemple.
Entendu au JT, sur les radios, dans le presse de Gray :
" Des saboteurs dangereux, une branche de l'ultra gauche anarcho-autonome ( kesako ?), voulaient-ils simplement saboter ou tuer des usagers, nous ne le savons pas pour l'heure,..."
Didier Porte, plus fin et plus drôle que moi, quoi que, pas tout le temps (il devrait m'écouter chez moi ou ailleurs et me lire de temps à autre), nous indique que ces anarcho-autonomes d'ultra gauche se planquaient dans une épicerie du plateau des mille vaches. Belle planquette...
Donc pour l'exemple, ces joyeux anars vont être jugés comme des terrorisses qu'ils ne sont pas. Par contre, nos chers gouvernants, eux, TerrorisTes qu'ils sont, ne seront nullement inquiétés par leurs forfaits, détruisant tous services publics sur leur passage. Les fous !
Dernier élément avant de vous laisser à vos occupations et aux miennes, ce n'est ni Strauss -Truc, ni Ségochose, ni Martinobric, ni Delanomachin qui amélioreront la situation. D'aucun se disent scandalisés par le couac (sic) qu'a connu dernièrement le PS. Les fous !
Je n'attends rien du PS. (exceptés peut-être leurs couacs). La situation du PS (chaotique) est à l'image de leurs projets (inexistants) : le boxon libéral.
Delanochose m'a quand même bien fait rire. Changeons qu'il disait, vivons à l'heure de la mondialisation, qu'il criait, vive le libre échange, qu'il vantait, tous au Palais Brognard, qu'il nous invitait.
Deux semaines après, c'était la crise. Sarkouzy nous mettait en garde contre ces méchants capitalisto-libréchangisto-globaliso-boursicoco-palaibrognardo-libéraux. Lui aussi est drôle. Et dangereux. Le fou !
A y est l'Ami, je suis de retour pour un bulletin quasi quotidien selon l'humeur.
4 commentaires:
la sociale démocratie en décomposition et les parties marxistes confidentiels ne proposant, jusqu'a preuve du contraire, aucune alternative tout baigne pour notre amie Zarko.Continuons de nous mépriser les uns les autres et soyons désunis, il n'en demande pas plus. Il suffit pour sans convaincre de regarder ce qui se passe en Italie.
J'ai nettement l'impression que finalement tu as plus de détestation pour la gauche sociale démocrate,que pour ces messieurs de L'UMP et j'avoue que ça m'attriste.
Qui a permis les grandes réformes sociales de ces 30 dernières années, RMI, RTT, peine de mort, CMU que sont train de tailler en pièce ces salauds!
C'est quoi être de Gauche???
Ben vaindiousse, me voilà à peine beau, que je m'en prends déjà une !
Chuis dac avec l'union ou l'unité derrière Sarkouzy. Mais à quels prix ? Pour quelles Propositions ? Pour quels projets de société ?
Un truc pseudo social (cf. projet de constitution européenne, qui n'en est plus un...de projet), un libéralo-truc ?
Je ne déteste point le PS, je ne suis Absolument pas sur la même longueur d'onde (c'est dire), et toi non plus j'en suis sûr. La destruction des services publics, par exemple, est un "projet" décrié par la gauche (PS), mais si l'on écoute Delanochose, on se rend compte que, pour lui, rien ne peut arrêter la globalo-mondialiso-libéralisation (des services), car le marché est une entité que l'on n'arrête pas en marche, Môssieu.
Car chez ces gens là, on ne pense pas Môssieu, on compte.
Les grandes avancées sociales sont chouettes. On crée la CMU et, dans le même gouvernement, on privatise plus que la droite, donc on licencie à qui mieux mieux (CQFD) ! Y a pas un truc qui cloche ?
Le PS, pour moi, ne changera pas, ni les choses, ni lui même. Les vieux partis marxistes, si.
Ce n'est que mon point de vue, il n'engage que moi, et encore, devant un bon psychiatre, je m'en sortirai "blanc comme un cierge de pâques, qui balbutie, qu'a l'oeil qui divague".
Mais quel retour !
(ouais je fais pas d'analyse politique c’est pas que ça ne m’intéresse pas mais c'est dimanche, je me suis levé tard, je bois un café, la seule politique qui m'intéresse pour le moment est-ce que je me refais une tartine socialo-communiste au beurre ?)
est ce qu'on en confondrait pas rassemblement et hégémonie ?
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