mercredi 21 janvier 2009

Baraque...

Aux nouvelles, ils disent partout qu'Obama est d'origine française. Il serait un proche parent de Robert Hossein... C'est fou !

Il parait même qu'il a insisté hier, lors de son intronisation, pour que ce soit clairement nommé. Le fou ! Ce doit être le seul à brandir une telle fierté.

J'ai pas la télé, mais au poste, ils disent qu'il est noir. Mais voui, pis en 2o12 Harlem Désir sera candidat aussi !?! Pis quoi encore ? Arrêtons de rêver ! Pis Sarkouzy sort avec un top model pendant qu'on y est ! Et il veut réformer le mariage à Disney land !?!

N'importe quoi !

vendredi 16 janvier 2009

Moui...

Fait pas bon être palestinien en ces temps abracadabrantesques. Mieux vaut habiter Neuilly. Neuilly, belle bourgade de quelques milliers de (riches) habitants, située non loin de la capitale et de sa tour Eiffel, ses musées, ses palais, ses loisirs,...
Fait pas bon être juif non plus. Mais c'est toujours mieux que d'être palestinien. J'ai toujours peur d'écrire "juif" dans un texte. Peur d'être taxé d'antisémite sans doute. Or, "juif" n'est pas un gros mot. Tout dépend des qualificatifs associés. Si j'écris devant "le mot", par exemple, le qualificatif "meurtrier", ou pire "voleur", là, on peut très aisément me taxer de néo antisémite.
Par contre, devant palestinien, le terme "terroriste" ne choquera pas tant d'oreilles. Et pour cause, on associe beaucoup plus souvent ces deux termes (palestinien et terroriste) que juif et meurtrier. Dans les médias, cela va de soi.
Gare aux associations hasardeuses...
Pour l'oreille lambda, un palestinien terroriste relève de l'information, alors qu'un juif meurtrier relèverait plus du mythe. Je ne reviens pas sur ce vieux débat qui consiste à opposer antisémite et antisioniste. Oh pis si ! J'y reviens un instant.
L'antisémite pour moi, en ce qui concerne, peut être à tort, mes représentations, est celui qui considère le "juif" comme un danger pour lui, sa famille, sa patrie, etc. Il pense que le "juif" est voleur, mesquin, que c'est un être (et encore) sournois qui ne pense qu'à s'enrichir, qu'à prospérer jusqu'à marcher sur les autres. L'antisioniste n'est pas du même acabit.
Lui, penserait que le sioniste est obsessionnel : exister quitte à détruire, se développer au détriment de l'autre, du voisin, car il a souffert, car il a été victime, car il est mal aimé. L'antisioniste pense que le sioniste se sert de l'antisémitisme pour exister encore plus fort, pour crier et revendiquer son droit à l'auto défense !
Le droit de se défendre... Ca c'est beau. On m'attaque, je riposte. Le petit Momo lance un caillou sur ma Zx, je riposte : je coupe l'accès à la carrière. Et je le tue.
J'entendais le ministre de la guerre Israëlien (faut le faire quand même un ministre de la guerre) dire qu'une guerre était toujours sale. Il aura le prix Lapalisse 2oo9 ; je lui adjoins également le prix nobel de la paix.
Il est vrai que je ne parle pas du Hamas. Il est vrai que ce ne sont pas des saints et qu'on préfererait le Fatah. Mais...
Voir son père se faire humilier par quelques soldats, quand on a 10 ans, ca ne te forge pas à la démocratie, mais plutôt à la révolution.
Je pourrais encore développer avec les zidées qui me viennent, mais je n'ai guère le temps.
Prochainement.

lundi 5 janvier 2009

Bananée...

Vœux à volonté !